Les beaux jours reviennent. Avec eux, les terrasses, les barbecues, les glaces en famille, les soirées entre amis… et une pression qui semble s’inviter chaque année : celle du « summer body ».
Entre les magazines qui vous promettent -5kg en 10 jours, les réseaux sociaux inondés de corps « prêts pour l’été » et les petites phrases qu’on entend parfois autour de soi (« Tu prends une deuxième part ? », « Tu devrais faire attention avec les vacances qui arrivent… »), difficile de ne pas se sentir tiraillé·e entre envie de profiter et culpabilité.
Et c’est précisément ce tiraillement qui rend la relation à la nourriture si complexe. Car plus on s’interdit, plus on risque de craquer !
Pourquoi résister ne suffit pas (et fatigue autant)
Ceux et celles qui essaient de « faire attention » en été savent à quel point cela peut vite virer à la torture mentale :
Résister au pain grillé, à la sauce, à la glace des enfants…
Compter les calories entre deux rires partagés…
S’observer dans le miroir en se demandant si « ça se voit »…
Mais la vérité, c’est que la frustration, à force de s’accumuler, finit par exploser!
La volonté peut fonctionner un temps. Mais lorsque la nourriture joue un rôle de réconfort, de relâchement, de récompense ou d’ancrage émotionnel… alors le simple « contrôle » ne suffit pas. Pire : il peut renforcer le cercle vicieux du craquage, suivi de la culpabilité, puis de nouvelles restrictions.
Et si on changeait de stratégie ?
Dans mon approche, je ne vous apprends pas à vous battre contre vous-même. Je vous propose de comprendre ce qui se joue en vous, pour construire une relation plus apaisée à la nourriture et à votre corps. Je m’appuie notamment sur deux outils puissants et complémentaires :
- L’approche systémique et Palo Alto, qui cherche à comprendre la logique du symptôme : pourquoi mangez-vous de cette manière, à ce moment-là ? Que vient apaiser ou compenser ce comportement ? Et comment peut-on répondre à ce besoin autrement, avec plus de douceur, et peut-être même, encore plus de plaisir ?
- L’hypnose ericksonienne, qui vous aide à vous reconnecter à vos ressentis profonds : la satiété, le plaisir, la sécurité intérieure, l’image de vous-même. Elle vous permet aussi d’ancrer de nouveaux réflexes plus sains, dans l’inconscient, là où les habitudes prennent racine.
Et si ce n’était pas une question de poids, mais de relation ? Relation à la nourriture. Relation au corps. Relation à soi.
Et si, cet été, au lieu de vous mettre « au régime », vous décidiez d’écouter vraiment ce que vous ressentez, ce que vous traversez, ce dont vous avez besoin ?
Et si vous osiez sortir du mythe du corps parfait pour entrer dans la réalité d’un corps vivant, évolutif, digne d’attention et de
respect ?
Je vous accompagne dans ce chemin-là. Pas vers moins de vous, mais vers plus de vous.